En quête de sens
Soin du lieu et du vivant

« Que vos ‘non’ soient de vrais ‘non’, et que vos ‘oui’ soient

de vrais ‘oui’. »

Conrad.




Pourquoi cet article ?


   Selon moi, faire appel à un géobiologue va au delà d’une simple expertise, d’un rapport écrit et de quelques préconisations. C’est avant tout une rencontre entre plusieurs Êtres, vous, éventuellement vos proches et moi, avec chacun son parcours, ses difficultés, ses peurs, ses forces et ses valeurs.
   Lors de mes expertises, j’apprends à vous connaitre afin de répondre au mieux à vos attentes. Je serai notamment amené à vous poser des questions sur votre lieu de vie, éventuellement votre lieu de travail, vos proches et surtout vos habitudes.
   C’est pourquoi il est important, à mes yeux, de raconter une partie de mon parcours, afin de vous donner une idée de mes valeurs et de mes intentions.

Mon parcours


   Je m’appelle Frédéric Aubourg, je suis originaire de la région Rhône-Alpes, région à laquelle je suis attaché et où j’ai grandi, entre campagne et montagne. Dès mon enfance, je prends goût à créer, réparer et améliorer toute sorte de chose, particulièrement dans la Nature (bricolage, potager, …). J’aime jongler entre « me servir de ma tête » et « me servir de mes mains », comme je dis toujours .
   Sur les bancs de l’école, je découvre le milieu de la Physique et comprends peu à peu qu’elle nous entoure, au quotidien. Plutôt doué pour les matières scientifiques, je m’oriente vers des études d’Ingénieur, notamment à l’école Nationale Supérieure des Arts et Métiers d’Aix en Provence.
   En 2011, mon diplôme d’ingénieur en poche, je me lance dans le secteur de l’Industrie. Afin d’accélérer ma montée en compétences, je choisis de travailler dans un cabinet de conseils, spécialisé dans l’optimisation de production et logistique. 2 années passent, à une allure folle…je suis épuisé et je commence à perdre pied. « Métro, boulot, dodo », tel est mon quotidien. Doucement, je commence à me poser des questions, sur mon travail, sur mes actions de tous les jours. Je me demande alors : « Ai-je fait autant d’études pour tout cela ? ». « Est-ce cela travailler ? ».   « Pourquoi ce mal-être ? » Quelque chose cloche. Le 1er décembre 2012, je démissionne et rentre dans ma région natale.
   En mai 2013, je suis à nouveau en poste, toujours dans le secteur de l’Industrie, sur un poste d’ingénieur de production. N’étant plus en déplacement en permanence, je commence à prendre du temps pour moi, et à chercher des réponses à mes questions. Un jour, ma mère m’envoie un article qui parle de « 3 piliers pour éviter le cancer ». Déjà à l’époque, beaucoup de personnes autour de moi sont atteintes, certaines se battent encore contre lui, d’autres ont malheureusement déjà succombé.

Prise de conscience


   A la lecture de cet article, je suis loin d’imaginer les conséquences qu’il aura sur moi.
Le premier pilier porte sur l’effort physique : « Pratiquez une activité physique régulièrement ». De ce côté là, c’est bon. Il faut juste veiller à ne pas trop en faire.
Le second pilier traite de l’alimentation. En lisant l’article, je prends conscience que ce que je mets dans mon assiette a un impact direct sur ma santé au quotidien, certes, mais surtout un impact « à retardement » à cause de l’accumulation de toutes ces petites quantités de poison ingérées chaque jour (pesticides, métaux lourds, « mauvaises graisses », « mauvais sucres », restes de médicaments,…). Je comprends alors que toute ma façon de m’alimenter est à revoir.
Enfin, le troisième pilier porte sur le mal-être, et notamment le stress. De ce côté-là, j’ai beaucoup de travail! Depuis tout petit, je n’ai pas confiance en moi, je suis plutôt timide et angoissé, souvent anxieux. La plupart du temps, je cherche à satisfaire les autres au détriment de moi-même. Ne sachant pas vers qui me tourner à l’époque, je décide d’aller voir une psychanalyste qui propose une méthode basée sur l’analyse des rêves. Après de longs mois de travail et de remise en question difficile, cette phrase voit le jour : « J’ai le droit d’exister. » Je prends conscience, douloureusement, que je ne me suis pas autorisé à vivre tel que je suis réellement jusqu’à maintenant.

Renaissance


    Les jours suivants, je suis perdu. Vide. Et en même temps, je m’empresse de vivre et de découvrir qui je suis vraiment. Je suis comme une coquille vide, prêt à accueillir la Vie. Les semaines, mois et années qui suivent, je remets littéralement en cause tout ce qui m’entoure : ma façon globale de consommer, de travailler, mon rythme de vie, mes relations humaines. Dans chaque situation, je me pose la question : « Suis-je en harmonie avec cette situation ou cette relation à cet instant ? ». Si oui, je la conserve telle quelle. Si non, j’essaie de comprendre pourquoi, quitte à changer certaines choses. J’aime d’ailleurs beaucoup une phrase que m’a dite Conrad un jour : « Que vos non soient de vrais non, et que vos oui soient de vrais oui ». Si je dis oui, c’est que cela me met en harmonie. Alors je m’engage vraiment. Idem si je dis non.
   Aujourd’hui, je continue de me poser cette question, au maximum.
En 2017, je suis à nouveau en perte de vitesse. Je peine à me lever le matin, je me réveille fatigué et je n’arrive pas à récupérer durant le weekend. Je prends quelques jours de repos, mais rien n’y fait, le mal est ailleurs. Au travail, j’aime ce que je fais, mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi je le fais. Alors je cherche des réponses, et la question du sens refait surface : « Quel est le sens de tout cela ? » « Est-ce cela travailler »? Je m’engage dans la réalisation d’un bilan de compétences et fais le point de manière très cartésienne sur mes expériences passées, actuelles et mes aspirations. Le résultat est sans appel : 95% de ce que je fais au quotidien me plait. Seul le sens me manque…le fameux « pour quoi je fais tout cela ». Après de longs mois de recherche, de remises en question et de rencontres, la géobiologie m’apparaît comme une évidence. A travers elle, j’arrive à combiner tout ce que j’aime, c’est-à-dire à contribuer à la construction d’un monde meilleur en accompagnant chaque Etre qui le désire, en utilisant à la fois mes mains, ma tête et tout mon Etre, en lien avec la Vie qui nous entoure.
   Presque 2 ans plus tard, je crée eQilibre. Cette activité professionnelle complémentaire me permet d’apporter du sens dans mon métier, mais aussi dans ma vie de tous les jours, car comme je l’évoquais en début d’article, la géobiologie est bien plus qu’une simple expertise, un simple rapport écrit ou des préconisations. C’est avant tout une rencontre avec l’autre, et une rencontre avec soi-même.

Au plaisir de vous rencontrer prochainement !

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